Notas: | "Henri Beyle, garnement de Grenoble mûri dans les campagnes napoléoniennes, trouve à Milan sa patrie d'élection, sa vocation et son nom d'emprunt : Stendhal. Vies d'artistes et récits de voyages lui valent la notoriété. Il avait rêvé de théâtre, mais c'est par le roman qu'il s'impose, en 1830, avec Le Rouge et le Noir . Consul à Civitavecchia, il s'y ennuie à périr et s'adonne aux délices de l'autobiographie et de la fiction. Un congé à Paris lui permet de dicter, en deux mois, La Chartreuse de Parme . Jean Goldzink suit les traces d'un écrivain qui voulut vivre et écrire le bonheur et la gloire, et qui n'a cessé de se raconter." -- Contratapa. |